Types de terrains
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🏞️ Les différents types de terrains en Israël : tout ce qu'il faut savoir
L'immobilier en Israël est unique. Contrairement à d'autres pays, la majorité des terres n'appartiennent pas directement aux particuliers mais à l'État ou aux organismes publics. Pour un investisseur ou un acheteur potentiel, il est donc essentiel de comprendre les différents statuts fonciers : KKL, Minal, terrains privés, terrains agricoles, etc.
🌳 1. Les terrains du KKL (Keren Kayemet LeIsrael – Fonds National Juif)
Le KKL détient environ 13 % des terres en Israël . Ces terrains ont été acquis grâce aux dons de Juifs du monde entier, dans l'objectif de développer le pays, planter des forêts et établir des communautés agricoles.
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Propriété : ces terres appartiennent au KKL.
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Utilisation : souvent agricoles, forestières ou destinées à des projets nationaux.
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Spécificité : un particulier ne peut pas acheter ces terrains en pleine propriété, mais uniquement en obtenir un bail de longue durée via le Minal (Administration des terres d'Israël).
🏛️ 2. Les terrains du Minal (Israel Land Authority – רשות מקרקעי ישראל)
Le Minal gère environ 93 % des terres en Israël au nom de l'État, du KKL et de l'Autorité de Développement.
La plupart des Israéliens qui pensent « acheter un terrain » deviennent en réalité locataires de l'État , via un bail de 49 ans ou 98 ans, renouvelable.
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Propriété : l'État reste propriétaire.
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Baux à long terme : c'est la forme la plus répandue en Israël.
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Exemple : un appartement à Tel Aviv ou une maison à Haïfa se trouve très probablement sur un terrain administré par le Minal.
🏠 3. Les terrains privés (admat pratit – אדמה פרטית)
Les terrains privés sont beaucoup plus rares en Israël, représentant environ 7 % du total des terres .
Ils appartiennent directement aux particuliers ou aux familles, avec un titre de propriété complet.
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Valeur : plus chers, car le propriétaire à la pleine propriété (meilleure sécurité juridique).
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Exemples : certaines zones à Netanya, Herzliya ou Jérusalem.
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Particularité : ce sont ces terrains qui intéressent le plus les investisseurs étrangers, car ils évitent les contraintes du Minal.
🌾 4. Les terrains agricoles
De nombreuses parcelles en Israël sont classées agricoles .
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Leur utilisation est limitée à l'agriculture.
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Pour construire dessus, il faut une requalification (shinuï ya'ad – שינוי ייעוד) auprès des autorités locales.
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Ces terrains sont souvent moins chers mais impliquent un risque : si le changement d'usage est refusé, ils resteront agricoles.
🏢 5. Les terrains à usage résidentiel, commercial ou industriel
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Résidentiel : destiné aux immeubles, maisons et lotissements.
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Commercial : réservés aux bureaux, commerces et services.
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Industriel : utilisations pour les usines, entrepôts et zones logistiques.
Chaque classification est fixée par le plan d'urbanisme (Taba – תב"ע) . Il est donc crucial de vérifier ce plan avant tout achat.
⚖️ 6. Points clés à retenir pour un acheteur étranger
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En Israël, acheter un terrain ≠ pleine propriété dans la majorité des cas . C'est souvent une caution gérée par le Minal.
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Les terrains privés sont rares et chers, mais offrent une vraie liberté.
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Les terrains agricoles peuvent être attractifs mais demander de la prudence.
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Le KKL et l'État possèdent la quasi-totalité du foncier.
🚀 Conclusion
Comprendre les statuts fonciers en Israël est essentiel avant d'investir.
Chez Win My Land Israel , nous sélectionnons uniquement des terrains clairs et sécurisés sur le plan juridique, afin d'offrir à nos participants une chance réelle de posséder une partie de la Terre d'Israël, en toute transparence.
➡️ Prochain lot mis en jeu : un terrain d'un demi-dounam (≈ 500 m²) à Hadera, dans le contexte Park Ayahar .
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